Sondage Flash : plus de Prism que de mal pour le cloud
De manière assez surprenante, le scandale Prism semble bien n'avoir eu qu'un impact quasi-nul sur les DSI.
PublicitéDans la récente tribune de Sylvain Defix comme dans notre dernier sondage flash, le scandale Prism semble bien n'avoir eu qu'un impact pour le moins marginal voire nul dans les décisions d'utilisation du Cloud.
Environ le quart des répondants refusait déjà les clouds externes voire les clouds tout court. Ceux-là n'ont évidemment pas bougé de leurs positions, marmonnant sans doute un « je vous l'avais bien dit ».
Presque la moitié des répondants haussent les épaules en soupirant : pour eux, tout est comme avant. L'espionnage généralisé ? Pfou, ou bien cela n'a aucune importance ou bien, plus cyniquement, vouloir s'en prémunir est illusoire.
Un peu moins d'un quart des répondants admettent tout de même une plus grande attention à ce qu'ils mettent dans le cloud. Tout n'est pas nécessairement à placer sur des serveurs peu ou pas maîtrisés.
Enfin, 7% seulement refusent désormais de travailler avec des acteurs américains. Si c'est rassurant pour les principaux fournisseurs de la planète, on peut se demander où est passé l'esprit gaulliste...
Article rédigé par
Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO
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