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Sondage flash : les logiciels d'occasion restent incompris

Selon notre dernier sondage flash, nos lecteurs ne comprennent pas le principe même du logiciel d'occasion. L'adoption éventuelle s'en ressent.

PublicitéAucun de nos lecteurs ayant répondu à notre dernier sondage flash n'a déclaré avoir déjà acquis des logiciels d'occasion. Et presque la moitié ne comprennent pas de quoi il s'agit. Le courtier Usedsoft qui vient de s'implanter en France a donc encore un sacré travail d'évangélisation à mener.

Le rachat de licences inutilisées par des primo-acquéreurs a beau être parfaitement légal, comme les tribunaux l'ont plusieurs fois rappelé, un répondant sur dix n'a aucune confiance dans le système.

Un quart des répondants seulement laisse entrevoir l'éventualité d'une acquisition de licences d'occasions. Cependant, il serait alors vérifié que les garanties sont bien les mêmes qu'avec des logiciels neufs.

Enfin, un peu moins d'un cinquième des répondants jugent que la véritable évolution du marché du logiciel est le SaaS. Dès lors, faute d'acquérir des logiciels, le principe même des licences d'occasion n'aurait plus d'intérêt.