Projets

Rhodia choisit un développement rapide évolutif pour sa plate-forme de service clients

En ayant recours à la plate-forme de développement composite de l'éditeur De Gamma, l'industriel a pu passer de la maquette au produit fini par étapes successives et rapides.

PublicitéLa direction du marketing et des ventes de Rhodia souhaitait accroître l'efficacité de son centre de service clients (CSC) sans remettre en cause son système d'information. Or le CSC avait besoin de piocher des informations au sein d'une quinzaine d'applications différentes pour remplir son rôle, essentiellement la gestion des commandes, la GRC, le système d'information qualité et la messagerie. Il s'agissait donc de créer un outil compilant des informations de multiples sources dans une interface utilisateur unique. « Avec des outils traditionnels, un simple proof of concept m'avait été devisé à un million d'euro » se souvient Jacques Benoît Le Bris, directeur business intelligence management chez Rhodia. Un tel coût ne pouvait pas être accepté, d'autant que la méthode envisagée interdisait de fait une mise à disposition du projet dans des délais courts. Rhodia choisit donc d'opter pour la plate-forme de développement composite de l'éditeur De Gamma. Celle-ci comporte un atelier de génie logiciel, une gestion des interfaces utilisateurs, des connecteurs mashup... Jacques Benoît Le Bris indique : « en quinze jours, nous avons été capables de mettre en oeuvre une solution opérationnelle du point de vue des utilisateurs, sans affecter les architectures techniques en place ». Un écran unique a ainsi pu être créé pour agréger les contenus et démontrer l'utilité d'un tel outil. Une fois cette maquette créée, Rhodia a ainsi pu poursuivre les développements sans tout réécrire. Certains développements ont alors été réalisés dans les applications amonts pour atteindre tous les objectifs du projet, la maquette évoluant progressivement jusqu'à atteindre le niveau fonctionnel requis. « La plate-forme de De Gamma permet de mettre en oeuvre rapidement des maquettes et de tester des concepts sans retirer au DSI son droit à l'erreur » se réjouit Jacques Benoît Le Bris. En effet, si la maquette n'avait pas été jugée pertinente, le projet aurait pu être stoppé sans que Rhodia n'ait englouti le coût de développements lourds.

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