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RelevanC permet à Bayer une certitude de ciblage marketing

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L'exploitation des données de profils de consommateurs par RelevanC permet à cette société de garantir un ciblage à 100 % exploité par Bayer pour sa campagne Bepanthen.

PublicitéBepanthen est une gamme de produits de soins de la peau commercialisée par Bayer. Elle comprend notamment une crème pour soigner les érythèmes fessiers des nourrissons, achetée par les parents de jeunes enfants. La préoccupation de Bayer est donc, pour ses campagnes marketing online, de cibler au mieux les parents de jeunes enfants. Par les méthodes traditionnelles, le taux d'impression sur cible des bannières est de l'ordre de 50 %. En employant la Rich Data Solution Platform de RelevanC, le taux d'impression sur cible atteint 100 %. Par contre, cela n'implique pas une meilleure pénétration de la cible, juste que les personnes touchées appartiennent bien à la cible.

Pour parvenir à garantir le ciblage, RelevanC utilise une base de données de profils de consommateurs comme nous l'expliquions en octobre 2017. Le socle de la base est constitué par les tickets de caisse et les fichiers des porteurs de cartes de fidélité du groupe Casino (Casino, Franprix, Naturalia, Sherpa... et Cdiscount). La présence de Cdiscount, qui revendique la deuxième place des sites e-commerce français, permet d'associer des données on-line et off-line. « L'objectif est d'être le plus exhaustif dans l'identification de segments et où les membres de ces segments vont naviguer sur le web » précise François Marical, CDO de RelevanC. Pousser une campagne auprès des cibles les plus pertinentes n'est pas neuf. François Marical précise : « ce qui est neuf est la capacité à mesurer la performance off-line de campagnes on-line. » A terme, la data consommateurs devrait être enrichie avec d'autres sources, extérieure à la grande distribution à dominante alimentaire.

Dans le cas de Bepanthen de Bayer, l'objectif était de cibler les parents de jeunes enfants. « Nous suivons les comportements d'achat des consommateurs et, par exemple, si des personnes achètent des couches-culottes, nous savons qu'elles achètent des produits pour jeunes enfants » explique François Marical.

Article rédigé par

Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO

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