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Réactivité et qualité des données, les deux piliers du décisionnel

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Le décisionnel est l'outil informatique des métiers par excellence. Sa réactivité est une condition du succès à laquelle s'ajoute la fiabilité des données et des traitements. Illustration chez sept grandes entreprises des pièges à éviter.

Publicité« Le décisionnel classique n'est plus adapté aux besoins actuels des entreprises car il n'est plus assez réactif » avertit François Renault, Président de l'Association Française de l'Audit et du Conseil Informatique (AFAI). Les métiers affirment des exigences de plus en plus pointues. Les outils décisionnels - ou de Business Intelligence - doivent répondre à des contraintes de réactivité maximale dans un monde sous pression. Et ce n'est pas tout ! Pour Laetitia Bardoul, analyste conseil au CXP, cabinet d'analyse du marché des progiciels en France: « la Business Intelligence ne doit pas seulement analyser le passé et mesurer le présent. Elle doit anticiper les tendances du futur. Les systèmes de BI doivent répondre aux enjeux de réactivité et d'analyse des tendances. »

Quantité et qualité compatibles

Dans le même temps, la quantité de données à traiter augmente régulièrement. Le tout sur un fond de difficulté récurrente à disposer de données qui soient justes. Ce qui passe par la motivation des collaborateurs et des divers intervenants dans la chaîne de fabrication de l'information pour saisir les bonnes données dans le système d'information. La qualité des données constitue le caillou dans la chaussure de tout système décisionnel.

Un des graals du décisionnel est l'existence d'un (...)

Lisez la suite dans CIO PDF 26 avec les témoignages de Olivier Berrod (Boulanger), Guillaume Martin (Laser), Bertrand Laude (Essilor), Aymar Cornudet (Renault), Stéphane Dupont (Crédit Agricole SA), Christophe Lebrun (Bolloré Logistics) et Matteo Spreafico (L'Occitane).

Article rédigé par

Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO

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