Pourquoi le Cloud Computing n'est pas juste un nouveau nom pour l'externalisation
Lorsque vous pouvez acheter un serveur pour 12 centimes de l'heure, cela change tout sur la façon dont vous gérez l'informatique. C'est le point de vue défendu chez nos confrères américains de CIO.com par Timothy Chou, ancien président d'Oracle On Demand et enseignant à Stanford.
PublicitéBeaucoup d'entre vous doivent se demander si le Cloud Computing n'est pas seulement un nouveau nom pour la FAH (Fourniture d'application hébergée), le Software as a Service (SaaS), pour l'externalisation, ou pour les plus âgés, le service bureau. Bien que le Cloud Computing partage des principes avec chacun de ces modèles, quelque chose de plus significatif est en train de se passer, quelque chose qui a le même impact que le changement de génération lorsque l'on basculé depuis les mainframes vers le client/serveur.
Permettez-moi de vous expliquer à quel point ce changement est important.
En 2008, j'ai lancé une série de conférences sur le Cloud Computing à l'Université Tsinghua de Pékin. Amazon a eu l'amabilité de faire don de 3000 $ de temps de calcul à mes élèves. Le premier jour de classe, je leur ai dit qu'avec 3000 $ ils pourraient acheter un serveur en Irlande, en Virginie ou en Californie pendant 3 ans et demi. Ils bâillèrent. Puis je leur ai dit qu'avec les mêmes 3000 $ ils pouvaient acheter 10000 serveurs pendant 30 minutes. Ils ont cessé de bâiller. Personne n'avait jamais été capable de faire cela auparavant. Bien sûr, qu'est-ce qu'on pourrait bien faire avec autant de serveurs ? Eh bien, des gens utilisent déjà des milliers de serveurs pour (...)
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Article rédigé par
CIO Etats-Unis
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