Les Pompiers de Paris améliorent la sécurité de leurs emails
La Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris sécurise ses boîtes mails avec Vade Secure Cloud.
PublicitéLa Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) est une organisation particulière dans le domaine informatique. Elle dispose de sa propre DSI qui fonctionne de manière parfaitement autonome afin de remplir les missions de la Brigade. C'est 150 pompiers à l'informatique (sur un effectif total de 8 842) pour quatre fonctions : la téléphonie, la radio, la gestion du parc et le réseau informatique. Et dans cette dernière on trouve l'administration du SI, la maintenance, la veille et la gestion des emails.
La Brigade compte 8 842 boîtes emails, 3 000 étant vraiment actives, sur le terrain elles sont peu utilisées. Les performances doivent néanmoins être assurées en continu, avec une bonne sécurisation. Ils disposaient jusqu'à fin 2015 d'un cluster de serveurs de messagerie Microsoft Exchange, mais l'éditeur est passé à une solution cloud. C'était la fin du support des serveurs de messagerie et de sa solution de sécurité Forefront. Les Pompiers de Paris ont cherché une solution efficace.
Déployée en une semaine
Comme la Brigade voulait garder ses serveurs, elle s'est tournée vers la plateforme de filtrage de Vade Secure, référencée au catalogue UGAP. La solution, Vade Secure Cloud, a d'abord été testée trois mois, puis déployée en une semaine au mois de décembre 2015, au-dessus des solutions existantes des Pompiers de Paris. Elle filtre, selon l'éditeur, les ransomwares, malwares et emails de phishing, tout en disposant de capacités innovantes de détection d'usurpation et de protection contre le spear phishing (hameçonnage personnalisé). En plus de cet aspect sécurité, la solution de Vade Secure classe les emails, notamment les publicités ou les notifications diverses.
La Brigade a mis au point, pour rendre cette protection plus efficace encore, un système d'analyse comportementale des emails, réalisé avec l'éditeur. Il est doublé d'innovations comme la désinscription sécurisée, par un bouton dédié à des newsletter, ce qui pouvait générer des pièges dissimulés. Les pompiers peuvent également, eux-mêmes, mettre en quarantaine certains emails.
Article rédigé par
Didier Barathon, Journaliste
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