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Les outils sociaux réussissent enfin à créer une culture de collaboration

Les outils sociaux réussissent enfin à créer une culture de collaboration

Nos confrères de CIO.com aux Etats Unis reviennent sur l'apport essentiel des nouveaux outils sociaux. Grâce à Facebook, les gens ont acquis la volonté de partager les informations, de créer une agora professionnelle et la culture de son usage. Mais les DSI doivent implémenter les bons outils.

PublicitéVous souvenez-vous des systèmes de gestion des connaissances, le Knowledge Management ? Dans les années 1990, le KM a émergé comme un moyen de recueillir et de partager l'expertise dans une entreprise. Les employés avaient à remplir les profils d'une base de données sur leurs compétences et leurs connaissances.

Chaque collègue pouvait interroger le système pour trouver la meilleure personne pour l'aider dans un projet. Mettre en commun les cerveaux des employés, selon les promoteurs du KM, permettrait d'accélérer et d'affiner la manière dont une société travaille en facilitant la collaboration. Mais le KM n'a jamais déferlé comme attendu sur toutes les entreprises. Les gens oubliaient de mettre à jour leur profil, ou trouvaient qu'il était trop lourd de le faire, et la base de données en était moins utile. Pour que le KM fonctionne, les gens doivent pourtant souhaiter saisir, cataloguer et partager ce qu'ils savent. Désormais, les outils de collaboration de pointe, combinés avec un esprit neuf, misent sur le partage inspiré par le réseautage social, et cela fait revivre le KM, selon Spencer Mains, CTO (Chief Technology Officer) de deux divisions du groupe de communication WPP (9,3 milliards de livres de chiffre d'affaires en 2010).

La société a récemment déployé le logiciel de PBworks pour permettre aux employés de collaborer sur les comptes client dans 15 pays. Tandis qu'ils chattent et se partagent des documents, le système archive toute l'information et les conversations. « Quand le KM fait partie du processus de tous les jours, vous résolvez son problème » explique Spencer Mains. Il ajoute: « vous agrégez les connaissances comme elles arrivent. » Collaborer de cette façon présente des défis, malgré tout, avertit John Poulin, directeur et architecte applicatif principal à Huron Consulting Group (Hurn). Si la raison pour collaborer est d'améliorer la prise de décision, les DSI devront (...)

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