Technologies
Les objets connectés au service des entreprises
Jacques Rebérol (GRTgaz, à gauche) et Thomas Fournier (Groupe Identicar) ont présenté leurs usages des objets connectés à l'invitation de MC2I.
A l'invitation de MC2I le 14 juin 2016 à Paris, Jacques Rebérol (GRTgaz) et Thomas Fournier (Groupe Identicar) ont témoigné du rôle des objets connectés dans leurs entreprises respectives.
Le 14 juin 2016 lors d'une matinée Le virage des objets intelligents connectés, la SSII MC2I a invité à témoigner deux entreprises. Jacques Rebérol, chargé de mission à la DSI de GRTgaz, et Thomas Fournier, DSI du Groupe Identicar, ont ainsi expliqué le rôle des objets connectés dans leurs entreprises. Mais ils ont aussi...
Le virage des objets intelligents connectés
La SSII MC2I a organisé le 14 juin 2016 à Paris une matinée centrée sur les témoignages de Jacques Rebérol (chargé de mission à la DSI de GRTgaz) et Thomas Fournier (DSI de Groupe Identicar). Anthony Frescal, directeur associé du pôle Digital et Expérience Client, a cependant introduit le propos sur le thème Le virage des objets intelligents connectés . Pour la SSII, les objets connectés sont à l'aube d'une forte croissance, suivant en cela les nombreuses prédictions disponibles. De fait, la bascule vers le protocole IPv6 fait sauter la limite du nombre d'objets pouvant disposer d'une adresse réseau. On en est aujourd'hui à 1018 adresses. Selon Cisco, nous devrions disposer en moyenne d'ici quelques années de 200 objets par personne. D'autres estimations parlent de 30 à 200 milliards d'objets d'ici 2020, tout dépendant de ce que l'on appelle objet connecté . Le nombre d'adresses disponibles nous laisse donc de toutes façons une certaine marge. La vraie question est plutôt celle de l'architecture du système d'information lié aux objets connectés. L'objet doit-il être stupide ? L'intelligence doit-elle résider au niveau de l'objet, dans la collecte des données des objets ou bien dans le système central ? Et comment garantir l'interopérabilité des différents objets avec les différents systèmes de traitement ? Les réponses à ces questions sont déjà au coeur des cas concrets, comme ceux GRTgaz et d'Identicar. Les objets connectés ne sont donc pas une question mais une réponse. Et ils s'insèrent dans des systèmes. Pour Anthony Frescal, « l'analytics appliqué aux données de l'IoT amène des avantages concurrentiels certains. »
Article rédigé par
Bertrand Lemaire , Rédacteur en chef de CIO
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