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Le groupe Les Mutuelles du Soleil simplifie l'administration de ses infrastructures

Thierry Ruas, DSI des Mutuelles du Soleil, s’est réjoui de la grande simplicité d’administration des infrastructures hyperconvergées.

Implanté dans l'arc méditerranéen, le groupe Les Mutuelles du Soleil a adopté l'hyperconvergence de Nutanix pour son infrastructure.

PublicitéAvec une histoire remontant à plus d'un siècle, le groupe Les Mutuelles du Soleil est issu d'un regroupement de plusieurs mutuelles et est aujourd'hui présente dans huit départements des régions Provence-Alpes-Côte-d'Azur et Occitanie. Grâce à 400 collaborateurs et 24 agences, elle protège en matière de santé et de prévoyance 160 000 salariés de 4900 entreprises. Depuis 2017, le groupe mène un chantier de rénovation informatique dans la foulée de l'arrivée d'un nouveau DSI, Thierry Ruas. L'infrastructure existante était en effet au bout de ses capacités en plus d'atteindre une certaine obsolescence. Pour éviter de maintenir des infrastructures complexes, la mutuelle a choisi d'adopter l'hyperconvergence avec les solutions de Nutanix. En effet, le principe même de l'hyperconvergence est de réunir réseau, stockage et virtualisation avec une administration unifiée et donc une expertise unique.

A l'accompagnement d'Infidis s'est ajouté un suivi direct par le service après-vente de Nutanix qui a été très apprécié par Les Mutuelles du Soleil. Si l'ERP Santé est en SaaS, l'essentiel du SI est géré sur infrastructures propres. La première migration, dès 2017, a donc concerné 60 serveurs virtuels et un parc de postes clients exclusivement en VDI avec technologie Citrix. Cette migration s'est faite avec deux clusters de trois noeuds en réplication temps réel entre deux datacenters afin de garantir l'effectivité du plan de continuité d'activité. Mais, fin 2019, l'ensemble de l'infrastructure commençait à être trop volumineuse (120 machines virtuelles) pour que le PCA reste opérationnel en cas de dysfonctionnement de l'une des deux salles. Chaque salle a alors été augmentée, passant de trois à cinq noeuds. La rapidité de la première migration (trois mois tout compris) et la quasi-instantanéité de l'augmentation de capacité de 2019 ont été particulièrement appréciés par Thierry Ruas.