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Le groupe Lagardère adopte un SI juridique

Le groupe Lagardère ne disposait pas d'information juridique centralisée et les solutions informatiques dans les différentes filiales étaient obsolètes. Il a donc amorcé un projet de SI juridique avec Legalsuite sans remettre en cause l'autonomie des différentes entités du groupe.

PublicitéPouvez-vous nous présenter le groupe Lagardère et ses besoins en terme de SI juridique ? Le groupe est composé de plus de 800 sociétés, avec régulièrement des rachats ou des ventes, pour un chiffre d'affaires d'environ 1,5 milliard d'euros et un effectif cumulé d'environ 30000 sociétés. Par l'histoire du groupe, chaque entité est assez autonome. Les sociétés sont regroupées en quatre branches : Lagardère Active (les médias, y compris les sites Internet et la télévision), Lagardère Publishing (le groupe Hachette Livre avec des éditeurs comme Dunod), les services (avec notamment les boutiques Relay) et enfin la branche Sports qui est spécialisée dans le management de droits sportifs. La DSI groupe a pour objet de fournir des infrastructures communes mais aussi une politique groupe. En 2005-2006, nous avons constaté que le SI juridique (gestion des sociétés et des contrats notamment) était constitué d'une multitude d'applications obsolètes ou insuffisantes. La réponse de Jean-Bernard Ehl en vidéo Comment avez-vous mené votre projet de SI juridique ? Nous avons mis en place un SI juridique groupe sur Legalsuite, pour les juristes au niveau groupe, et qui est en déploiement progressif dans les différentes entités, dans une logique de mutualisation. La réponse de Jean-Bernard Ehl en vidéo Comment avez-vous amorti un tel projet ? Comment avez-vous mené le changement ? Une plate-forme groupe est évidemment beaucoup moins chère que x plate-formes qu'il aurait fallu de toutes façons déployer. Nous menons les déploiements progressivement, en partenariat avec les DSI de chaque entité. La réponse de Jean-Bernard Ehl en vidéo