Projets

Le Crédit Mutuel Arkéa supervise ses transactions business

L'infrastructure de supervision que le Crédit Mutuel Arkéa avait déployé était très orientée ressources techniques. La banque a adopté une solution offrant une vision métier qui a permis de passer d'un mode réactif à un mode proactif.

PublicitéLe service informatique du Crédit Mutuel Arkéa doit générer des projets au rythme demandé par les directions métiers, en maintenant un niveau de qualité de service optimal, à un coût maîtrisé. Pour concilier ces objectifs, la DSI a lancé un grand programme dont la supervision de la prestation informatique est un des chantiers. Une difficulté a évaluer l'impact business des alertes Arkéa utilise depuis plusieurs années des solutions de supervision de l'infrastructure émettant des alertes très techniques. Cependant, leur approche en silos ne permet pas de connaître en temps réel l'impact métier de ces alertes, sur les utilisateurs finaux. Les équipes consacrent donc beaucoup de temps à déterminer l'origine et l'impact d'une alerte, ce qui rend moins efficaces les actions préventives, allonge les temps de résolution d'incidents et ne permet pas une communication ciblée et circonstanciée. Au delà du coût engendré, ces problèmes ont aussi un impact sur les opérations du Crédit Mutuel et sur les SLA négociés avec les directions internes et les partenaires. On en revient d'ailleurs aux coûts, car le non respect de ces contrats de services est synonyme de pénalités. « Le pire scénario est qu'un utilisateur final contacte la hot line pour reporter un problème de performance ou d'indisponibilité d'une application critique pour son activité, avant que la production informatique n'ait eu l'alerte correspondante » explique Didier Calvar, directeur informatique adjoint du Crédit Mutuel Arkéa. Une supervision de bout en bout des transactions métiers « Auparavant, nous avions une démarche réactive et une vision uniquement orientée infrastructure. Cela n'amenait pas la vision fonctionnelle dont nous avions besoin », résume Didier Calvar. Pour résoudre cette problématique, Arkéa a opté pour une solution (CoreFirst d'Optier) répondant aux critères suivants : - Capacité à offrir une vision en temps réel et de bout en bout de toutes les transactions business à travers tous les « tiers » de l'infrastructure. - Adaptation aux besoins d'Arkéa avec un minimum de paramétrage. - Adaptation aux applications et aux infrastructures, sans surcharge notable.

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