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Le CHU de Nîmes optimise ses sauvegardes en réduisant leur coût

Le SI du CHU de Nîmes repose sur 800 serveurs et un pétaoctet de données.

En s'appuyant sur la solution de Rubrik intégrée par SCC, le CHU de Nîmes a réduit le coût et accru les capacités de sauvegarde de ses données.

PublicitéDisposant de trois sites, le CHU de Nîmes propose 2000 lits grâce à 6000 collaborateurs. En tant que CHU (centre hospitalier universitaire), au-delà du soin, l'établissement a un rôle dans l'enseignement, la recherche et la formation. Sa DSI composée de 40 personnes gère un système d'information hébergé sur deux datacenters en miroir représentant environ 800 serveurs, principalement virtuels, et plus d'un pétaoctet de données (données non-structurées, bases de données Oracle et MS SQL...). La solution pour sauvegarder ces données, en place depuis 2010, était saturée et, même si l'idée initiale était d'accroître juste les capacités, une réflexion globale a été lancée avec un nouvel appel au marché. Il s'agissait également d'intégrer un archivage délocalisé dans le cloud. Après des démonstrateurs comparatifs, c'est la solution de Rubrik intégrée par SCC qui a été choisie.

Plusieurs avantages ont été identifiés concernant cette solution. Tout d'abord, la déduplication et la compression ont été jugées particulièrement efficaces. En simplifiant l'architecture et en réduisant les réplications grâce à l'archivage dans el cloud, le temps d'administration a été réduit d'un facteur deux. Le stockage primaire a également été réduit à 100 To, le solde étant de l'archivage dans le cloud en mode objet S3, par nature extensible. Le pilotage des sauvegardes de bases de données est natif dans la solution, évitant de devoir recourir à des administrateurs dédiés pour cette tâche, facilitant les manipulations accessibles à un plus grand nombre de collaborateurs de la DSI. De la même façon, la duplication de bases à des fins de développements ou de tests se fait nativement dans la solution.