La répartition des données entre cloud et serveurs locaux évolue
Une étude commandée par Iron Mountain montre l'évolution des DSI vers moins de données stockées en local et davantage de stockage dans le cloud. Mais des résistances demeurent.
PublicitéLes volumes de données à gérer au sein des systèmes d'information s'accroissent. Face à ce phénomène, les DSI conservent la possibilité de tout stocker en interne à leur société. Ce choix est cependant, selon une étude commandée par Iron Mountain, en recul. Les « server huggers » (« calineurs de serveurs ») -selon l'expression popularisée par le cabinet Forrester- constitueraient aujourd'hui environ la moitié des DSI.
Certains secteurs sont, par la nature des données gérées, très réticents à externaliser leurs stockage. C'est par exemple le cas dans le secteur de la santé ou de la pharmacie.
Mais, d'une manière générale, la confiance dans le stockage externalisé, en cloud privé ou même cloud public, s'accroît. La possibilité d'y stocker à moindre coût des données peu sensibles est donc aujourd'hui de plus en plus souvent prise en compte.
La tendance est pour l'heure plutôt à l'hybridation : ce qui est sensible stocké en interne avec une haute sécurité, ce qui peut être externalisé stocké dans un cloud peu coûteux.
Article rédigé par
Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO
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