Stratégie

La FNAIM toujours satisfaite de ses clients légers sept ans après leur installation

La Fédération Nationale de l'Immobilier (Fnaim) a équipé ses services internes de clients légers il y a plus de 7 ans. Les mêmes terminaux sont toujours opérationnels et c'est d'abord la direction financière qui exprime un bilan positif.

PublicitéEn 2002, dans le cadre d'une centralisation de son infrastructure informatique, la Fnaim a déployé un parc d'une centaine de clients légers qui n'ont pas encore été remplacés, même si de nouveaux terminaux sont venus s'y ajouter. Des gains d'abord financiers « Les clients légers ont constitué un faible investissement, s'installent plus rapidement que des PC, apportent une sécurité renforcée et allègent la charge des équipes informatiques. Compte tenu de leur faible coût de possession, le ROI visé est atteint », explique le directeur financier de la Fnaim. Et d'ajouter : « leur durée de vie dépassant de plusieurs années celle d'un PC, notre budget associé à leur renouvellement est quasi nul. » Toutefois, si les terminaux installés en 2002 répondent toujours aux besoins, l'infrastructure serveurs à dû être mise à niveau. Ces postes (d'origine Wyse) accèdent en effet aux applications via deux serveurs Terminal Server de Microsoft. Installés au siège, ils permettent d'ouvrir des sessions sur les clients légers via le protocole RDP. L'architecture est donc classique mais les terminaux utilisés dans d'autre entreprises dans le cadre de projets de virtualisation de poste de travail (de type VDI) sont les mêmes. Les PC classiques restent parfois nécessaires D'autre part, le client léger ne répond pas à l'ensemble des besoins. Une vingtaine de PC et quelques Macintosh sont en effet utilisés pour des applications exigeantes (développements informatiques, études économiques ou PAO). La Fnaim envisage maintenant d'acquérir de nouveaux modèles acceptant des périphériques et permettant des affichages multiples. Par ailleurs, elle étudie la possibilité d'étendre les clients légers à l'ensemble de ses chambres locales, voire à ses 12 000 adhérents.