Klépierre adopte l'infrastructure hyper-convergente pour faciliter son quotidien
Grâce à la solution Simplivity Omnicube, Klépierre a pu simplifier la gestion de son infrastructure virtualisée à 80%.
PublicitéImplanté dans 16 pays, Klépierre est un des grands spécialistes de l'immobilier des centres commerciaux. Son infrastructure se complexifie au fil du temps avec les évolutions et la croissance de son activité. Sin infrastructure est aujourd'hui virtualisée à 80% grâce aux technologies VMware. Ses 60 serveurs physiques hébergent ainsi 250 machines virtuelles avec un stockage de 40 To pour faire fonctionner notamment des applications classiques (Microsoft Exchange et Sharepoint, Oracle, Citrix...) autant que des applications métier. Les équipes d'administration étaient amenées à des problèmes de gestion et de performance réseau sur lesquels elles devaient intervenir manuellement.
Pour accroître leur performance, Klépierre a souhaité optimiser et faciliter ce travail quotidien sans vraie valeur ajoutée. Il s'agissait de rendre l'architecture plus simple à administrer et à faire évoluer en fonction des besoins métier. Le choix d'une solution d'hyper-convergence s'est rapidement imposée.
Performances améliorées et simplification des tâches
Klépierre a testé la solution Omnicube de Simplivity. A partir de février 2015, devant le succès des tests, cette solution a été déployée en un mois en commençant par les applications critiques. La moitié de l'infrastructure de Klépierre est à ce jour basculée sur cette technologie grâce au déploiement de cinq Omnicubes sans aucune interruption de service. A terme, l'ensemble de l'infrastructure devrait basculer.
Les performances constatées se sont améliorées de 25 à 50%. Ce alors même que les tâches des administrateurs ont été largement simplifiées grâce à l'orchestration globalisée des ressources, y compris de stockage. Sur ce dernier point, Omnicube permet aussi de dédupliquer et comprimer les données avec un taux revendiquée pouvant aller jusqu'à 100 pour 1.
Article rédigé par
Laurent Mavallet, Journaliste
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