Euler Hermes protège ses agences par la réplication incrémentale de machines virtuelles
L'assureur a choisi les solutions PlateSpin de Novell et vSphere 4 de VMware intégrées par D.Fi.
PublicitéFiliale du groupe Allianz, Euler Hermes est un spécialiste de l'assurance crédit contre l'insolvabilité de clients. Présent dans 50 pays, cet assureur emploie 6000 personnes. Si le siège de l'entreprise possédait un PRA/PCA bien rodé, basé sur de la réplication de serveurs au sein de datacenters, il n'en n'était pas de même des agences.
Une vingtaine de serveurs ayant une importance métier majeure étaient en effet sauvegardés sur bandes avec des écarts de l'ordre de 24 heures maximum entre deux sauvegardes. Une restauration, à partir de plusieurs bandes par serveur, prenait 24 à 48 heures. Ces serveurs locaux sous Windows sont virtualisés sous vSphere 4 de VMware et hébergent autant des bases Oracle que de la publication d'applications avec la technologie Citrix.
Le délais trop important entre deux sauvegardes amène, en cas de sinistre, à perdre jusqu'à une journée de travail tandis que la durée de restauration est également préjudiciable.
De ce fait, avoir divers tests et le montage d'une maquette limitée, la société a choisi de déployer la solution de réplication PlateSpin de Novell intégrée par D.Fi.
La solution réplique sur un serveur distant les machines virtuelles. Les réplications sont complètes à des instants t programmés, et des captures ponctuelles incrémentales sont opérées entre chaque réplication complète à raison d'une capture toutes les trois heures. La reprise d'activité prend désormais moins de 20 minutes d'après les tests opérés en bénéficiant de machines virtuelles à jour.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Article rédigé par
Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO
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