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Edito - Bonne année 2017 !

Edito - Bonne année 2017 !
Bertrand Lemaire est rédacteur en chef de CIO.

Traditionnellement, comme tous les ans, la Rédaction de CIO vous souhaite une excellente année 2017. Même si cela ne sera pas facile tous les jours.

PublicitéUn 2 janvier qui tombe un lundi, sans pont ou grand week-end du nouvel an ? Pas de doute, 2017 sera une année active et remplie de travail si on croit quelque peu aux signes. En ce jour, c'est la tradition, mais c'est aussi un plaisir, je vous souhaite donc une excellente année 2017.
De quoi sera-t-elle faite ? Sans doute, ne prenons aucun risque, par le quotidien habituel. Comme en 2016, 2015, 2014... il faudra réduire les coûts tout en innovant et en servant les clients autant internes qu'externes. Il faudra donc encore beaucoup de talent et de travail aux DSI pour atteindre leurs objectifs.

Mais peut-on être plus optimiste ? Plus positif ? Oui, heureusement.

Etre un esprit préparé au changement

Le DSI, responsable de la révolution numérique dans son entreprise, voit de fait son rôle devenir plus important chaque jour. Les menaces existent, bien sûr, sur son statut, comme la prise de pouvoir par le Marketing ou par un Chief Digital Officer (CDO) pour tout ce qui relève du Digital.
Mais ce phénomène n'est une menace que pour les esprits non-préparés. Depuis des lustres, chaque métier utilise des outils numériques ou informatiques sans en référer au quotidien à la DSI, qui se contente de fournir ces outils. Ainsi, par exemple, les comptables comme les commerciaux utilisent des progiciels, par exemple un PGI. Parfois aidés de consultants externes, ils les utilisent au quotidien mais sont également en charge de leur paramétrage. Pourquoi cela devrait-il changer ?

Au coeur de la révolution numérique

Le rôle du DSI est de permettre à chacun de connaître la révolution numérique, pas de priver chacun de son travail. Alors que le marketing se repose sur une plate-forme technique, contrôlée par la DSI pour garantir la cohérence du système d'information, et se charge de mettre en oeuvre des outils en surcouche destinés aux clients finaux, où est le problème ? Cela ne devient un problème que si chacun part de son côté : la plate-forme technique peu utilisée, un système shadow IT par service, etc.
Là encore, une contrainte pourrait se révéler bénéfique : les coûts. Si les budgets baissent, il ne faut pas multiplier les outils dans tous les sens. Et un arbitrage de la direction générale pourrait le cas échéant assurer la reprise en main du numérique par la DSI.
Alors, oui, soyons optimistes en ce premier jour de l'année. Voyons dans les faits des opportunités et non pas des contraintes.
Bonne année 2017 !

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