DMC migre son PGI dans un cloud hybride
Le spécialiste du fil à broder et des loisirs créatifs textiles a changé son PGI et a opté pour un cloud hybride pour optimiser sa qualité de service et réduire ses coûts.
PublicitéCréée en 1746, DMC est l'une des plus anciennes entreprises françaises. Basée à Mulhouse et spécialisée dans les loisirs créatifs textiles, notamment le fil à broder, DMC est aujourd'hui distribué dans 130 pays. Elle génère un chiffre d'affaires de 59,4 millions d'euros et un résultat de 8,7 millions d'euros grâce à ses 324 collaborateurs. Les coûts de son informatique étaient trop importants et la qualité de service optimisable. DMC a donc choisi de prendre le taureau par les cornes et de refondre son système d'information.
En premier lieu, le PGI SAP a été remplacé par celui de Divalto, intégré par Mercure. Le coût de l'infrastructure nécessitée par le PGI baissait considérablement de ce seul fait, sans compter un coût de la maintenance du progiciel lui-même bien plus bas. Mais DMC voulait aller plus loin dans l'optimisation. Mercure a alors préconisé un hébergement externalisé non seulement du PGI mais aussi des autres serveurs applicatifs.
Pour garantir l'évolutivité, l'agilité et la fiabilité du nouveau système d'information tout en réduisant les coûts, DMC a choisi, à l'instigation de Mercure, le cloud hybride proposé par Nerim associé à des services complémentaires. Les logiciels métiers ont ainsi été hébergés sur des serveurs privés virtuels sur mesure. Des serveurs résidents ont été conservés pour la logistique et la prise de commandes mais reliés par VPN au datacenter de Nerim pour une remontée en temps réel des informations sur les applicatifs hébergés. Son système d'information basé sur Divalto, Lotus Notes et OpenOffice a également été rendu disponible au travers d'un bureau virtuel baptisé Boost Connect aux couleurs de DMC avec une déclinaison multilingue pour les établissements internationaux. La prestation comporte également l'ensemble de l'administration, de la supervision, de la maintenance et des sauvegardes.
Le coût du projet n'a pas été communiqué.
Article rédigé par
Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO
Commentaire
INFORMATION
Vous devez être connecté à votre compte CIO pour poster un commentaire.
Cliquez ici pour vous connecter
Pas encore inscrit ? s'inscrire