Stratégie

Data Management : témoigner de la réalité concrète

Organisée par CIO, la conférence « Data management » aura lieu le 23 janvier 2018 à Paris.

CIO organise une conférence « Data management : réussir la mise en oeuvre » le 23 janvier 2018 à Paris.

PublicitéMettre concrètement en oeuvre les meilleures pratiques en matière de gestion du patrimoine de données peut sembler compliqué. Sur la conférence « Data management : réussir la mise en oeuvre » organisée par CIO le 23 janvier 2018 à Paris, des entreprises de premier plan présenteront comment elles y sont parvenues.
Mais le premier intervenant sera un avocat : Etienne Papin, Avocat associé au Cabinet Feral-Schuhl / Sainte-Marie. Celui-ci détaillera avec précision et concision comment mettre en oeuvre le data management à l'heure du RGPD (et d'autres réglementations).

Des témoins expliquant la mise en pratique

Sur la première table ronde, « Rendre son SI conforme au RGPD », viendront témoigner François Marical, Chief Data Officer de RelevanC, et Michaël Nguyen, Head of IT Management and Control de la SCOR. Le premier met en oeuvre un système de gestion de 50 millions de profils de consommateurs, le second a mis en place la stratégie de mise en conformité du SI de SCOR à la réglementation GDPR.
Au delà des obligations et des contraintes, « Accroître la valeur d'usage des données » sera le thème de la seconde table ronde. Elle réunira Pierre-Emmanuel Merle, Responsable Groupe Support Reporting à la DSI groupe de Saint-Gobain, et Elisabeth Humbert-Bottin, Directrice du GIP-MDS. Dans les deux cas, il s'est agi de valoriser massivement des données considérables en évitant les écueils. Le GIP-MDS a ainsi mis en oeuvre la DSN (Déclaration Sociale Nominative) qui a révélé les mauvaises pratiques en matière de gestion de la data RH.
Enfin, un Grand Témoin nous accompagnera tout au long de la matinée : Pascal Roche, le nouveau DSI de la SACEM. La Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique a fait du traitement de la donnée un axe clé de sa stratégie, y compris via l'intelligence artificielle. Elle collecte en effet les droits liés à plus de 100 millions d'oeuvres du répertoire mondial avant de répartir le fruit des collectes entre les ayant-droits.