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CIO.Focus 93 : garantir la performance quotidienne au service des métiers

CIO.Focus, des contenus stratégiques pour 190 crédits l'unité.

CIO.Focus n°93 a fait la synthèse de la Matinée Stratégique CIO du 18 novembre 2014 consacrée à « transformer la DSI pour optimiser son efficacité ». A l'occasion de l'été, redécouvrez ainsi les récents CIO.Focus !

PublicitéSi le DSI se doit d'être un stratège de la transformation du numérique, un héraut de l'innovation et le messie des nouvelles tendances, la première raison du mécontentement des utilisateurs sera une panne de l'e-mail ou un réseau trop lent. Face aux usages numériques croissants, garantir le bon fonctionnement quotidien des outils informatiques est devenu un défi. Délivrer un support adéquat aux utilisateurs de plus en plus exigeants est une obligation. Et le tout à moindre coût, bien évidemment. C'était le sens de la Matinée Stratégique CIO du 18 novembre 2014 consacrée à « transformer la DSI pour optimiser son efficacité ». Elle a été synthétisée dans CIO.Focus n°93.

Georges Epinette, à l'époque DSI du groupement des Mousquetaires, a ainsi martelé : « Il faut penser aux intérêts de la boutique avant de penser à ceux de la DSI. » Coincé entre les bons, les beaufs et les barbares, le DSI doit prouver son efficacité au sein de l'entreprise. Il a témoigné de ses astuces pour y parvenir.

Optimiser la performance, c'est surtout toujours faire mieux et à moindre coût. Conviés à la première table ronde de la conférence, Patrice Rodier, DSI de l'agglomération de Clermont-Ferrand, et Anthony Hié, DOSI du Conseil Général de la Moselle, sont revenus sur les technologies et les méthodes qu'ils ont mis en place pour assurer cette performance au quotidien.

Mais expliquer aux métiers que le taux de virtualisation a été multiplié par deux lui importe peu. Pour prouver sa performance aux métiers, Jacky Galicher, le DSI de l'Académie de Versailles et Beray Legouverneur, la DSI de Gefco, ont assuré, lors de la deuxième table ronde de la matinée CIO qu'il fallait utiliser des indicateurs compréhensibles de tous.

En fait, le DSI doit être un entrepreneur. En particulier, savoir justifier ses budgets est une clé de la performance perçue de la DSI. Laurent Idrac, le DSI d'Accor, qui a reçu une augmentation de budget de 225 millions d'euros, ne dira pas l'inverse. Il a témoigné sur la même conférence pour livrer les clés de sa réussite.

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