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CIO.Focus 68 : les surprises du cloud et de la cuisine informatique

CIO.Focus 68 : les surprises du cloud et de la cuisine informatique
CIO.Focus, des contenus stratégiques pour 190 crédits l'unité.

A l'occasion de l'été, redécouvrez les récents CIO.Focus (ex-CIO.PDF) ! Dans le n°68, des DSI assemblent des outils pour servir l'utilisateur mais aussi pour innover. En chauffant des immeubles avec du cloud par exemple.

PublicitéEn septembre 2013, CIO.Focus ouvre sur un dossier consacré aux surprises du cloud. Et des surprises, il y en a ! Certes, toutes les innovations abordées dans ce CIO.Focus n'ont pas encore forcément eu un grand succès. Mais elles sont la preuve qu'il y a encore beaucoup à faire, même sur un sujet rebattu comme le cloud.
Parmi ces innovations, la bourse allemande a lancé un marché de capacités informatiques de type cloud. Après tout, quelle différence de fond avec une bourse des crédits carbone ou de l'électricité ? Une société -également allemande- a, du coup, développé un outil d'intégration de ces capacités achetées à la volée chez de multiples fournisseurs. Agréger des capacités de stockage ou de calcul issues de multiples fournisseurs de capacité en mode cloud est devenu la spécialité de plusieurs éditeurs. Mais l'idée la plus originale en lien avec la mise à disposition de capacités en mode cloud, c'est probablement d'assurer le chauffage de bâtiments (bureaux, appartements...) en y répartissant les ordinateurs au lieu de tenter de transporter la chaleur produite par un datacenter aux serveurs centralisés.

Vive la cuisine d'assemblage !

Assembler des capacités ne doit pas faire peur au DSI. C'est l'un des messages que Laurent Idrac, DSI du groupe hôtelier Accor, a martelé dans l'interview qu'il nous avait accordé. Issu du contrôle de gestion, il a veillé tout au long de sa carrière à optimiser ses budgets. Et de culture mixte franco-américaine, le pragmatisme reste pour lui une valeur clé.
Pour achever ce CIO.Focus, une entreprise américaine a montré un exemple de transformation numérique. En l'occurrence, il s'agit d'un fabriquant de jouets traditionnels -des ours en peluche- qui a dû s'adapter aux goûts des nouvelles générations.

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