Technologies

BPM : un outil qui doit être au service des métiers

BPM : un outil qui doit être au service des métiers
De gauche à droite : Benjamin Farre (responsable IT, Crédit Agricole Immobilier), Richard Gay (de dos, IT Applications Manager, Thomson Video Networks) et Richard Vigniel (Architecte IT, Etat de Vaud).

A l'occasion du Bonita Days du 7 mars 2017 à Paris La Défense, l'éditeur BonitaSoft a fait témoigner trois de ses clients.

PublicitéLe 7 mars 2017 à Paris La Défense, l'éditeur BonitaSoft a fait témoigner trois de ses clients sur sa manifestation annuelle, Bonita Days. Ceux-ci utilisent les solutions de l'éditeur depuis au moins quatre ans. Il s'agissait de Benjamin Farre (responsable IT au Crédit Agricole Immobilier), Richard Gay (IT Applications Manager chez Thomson Video Networks) et Richard Vigniel (Architecte IT dans l'administration de l'Etat de Vaud).
Le canton suisse de Vaud a ainsi déployé Bonita BPM en 2013 dans la version 6. L'administration cantonale utilise la solution pour traiter un processus de gestion documentaire avec des traitements métier associés. En 2016, 1,6 millions de cycles procéduraux correspondant à 800 000 actions humaines ont été répertoriés. Le canton a « essuyé les plâtres » de la version 6, ouvrant 150 tickets au support en tout. « Comme Bonita BPM est en open-source en Java, c'est facile de travailler avec le support avec qui on peut discuter d'hypothèses » s'est réjoui Richard Vigniel. S'il a beaucoup contribué à la stabilisation des versions successives, c'est aussi comme voisin : les équipes de R&D de Bonita Soft sont à Grenoble, pas très loin de Lausanne. Les visites des uns chez les autres ont facilité des relations « qui auraient été très différentes avec un Américain » selon le Suisse.

Une clé de réussite : la qualité du descriptif des processus

Au Crédit Agricole Immobilier, Bonita BPM a aussi été associé à un processus de dématérialisation documentaire, en l'occurrence de factures. 65 000 factures ont ainsi été traitées avec l'outil. Les consultants de Bonita Soft ont accompagné l'entreprise dans la simplification des process. « Au début, les utilisateurs ont été un peu réticents à cause de la lourdeur de ce qui avait été mis en oeuvre et des imprécisions de processus » s'est souvenu Benjamin Farre. Les améliorations de ce point de vue ont changé la vie des utilisateurs. Le projet devrait évoluer avec l'arrivée d'une gestion des données de référence (MDM) dans une optique de qualité.
Enfin, Thomson Video Networks a eu recours à Bonita BPM pour garantir un bon dialogue, structuré et formel, entre la recherche et développement d'un côté et, de l'autre, la relation client. Il s'agissait de basculer automatiquement les remontées des clients issues de la GRC dans l'outil de traitement des tickets d'incidents. Un consultant a ainsi réalisé un démonstrateur en cinq jours. Et, ensuite, l'entreprise a mené une réelle amélioration continue. Richard Gay a apprécié le contact avec les équipes de l'éditeur : « d'un côté, il y a le support en cas d'incident ; de l'autre les consultants Customer Success pour une démarche pro-active de conseil et d'accompagnement ». Richard Gay a jugé que la grande faiblesse traditionnelle de Bonita Soft était l'industrialisation des déploiements et que les annonces de la roadmap (voir encadré) étaient rassurantes de ce point de vue.

Partager cet article

Commentaire

Avatar
Envoyer
Ecrire un commentaire...

INFORMATION

Vous devez être connecté à votre compte CIO pour poster un commentaire.

Cliquez ici pour vous connecter
Pas encore inscrit ? s'inscrire

    Publicité

    Abonnez-vous à la newsletter CIO

    Recevez notre newsletter tous les lundis et jeudis