Les DSI peuvent-ils désormais autoriser le BlackBerry sans crainte ?
La sécurité du BlackBerry est désormais certifiée dans 25 pays. Est-ce que cela sera suffisant pour lever tous les doutes quant à cette solution de mobilité de plus en plus exigée par les cadres comme un signe statutaire différenciant entre "ceux qui en ont" et "ceux qui n'en ont pas" ?
PublicitéResearch In Motion va pouvoir brandir une nouvelle certification de sécurité et l'agiter sous le nez de tous ses détracteurs. Selon Les Echos, un label international de sécurité vient de lui être attribué aujourd'hui à Rome à l'occasion de la 8ème Conférence internationale Critères communs (standard de base sur les produits informatiques). La certification est reconnue par 25 pays. Le fabricant du BlackBerry a désormais un nouvel argument pour faire taire les rumeurs sur les problèmes de sécurité et de confidentialité des données transitant sur son système de messagerie mobile pour professionnels. Depuis un an et demi environ, le BlackBerry est un terminal non désiré dans les ministères et administrations françaises. Motif : les communications électroniques transitant sur le système du canadien pourraient être interceptées par des organismes tels que la National Security Agency (NSA). Avec cette certification, la suspicion aura-t-elle disparue pour autant ?
Article rédigé par
Eddye Dibar
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