Impossible n'est pas français, la preuve par l'exemple
On m'avait dit que c'était impossible publie Jean-Baptiste Rudelle, le fondateur de Criteo, chez Stock. Le récit d'un défi gagné.
Publicité45 dollars au lieu des 26 espérés et des 31 demandés. C'est le cours incroyable que va atteindre -durant quelques minutes- l'action Criteo lors de son introduction au Nasdaq le 30 octobre 2013. Jean-Baptiste Rudelle, co-fondateur de l'entreprise, amorce ses mémoires d'entrepreneur par cette journée extraordinaire. Comment le fleuron de la French Tech est-il arrivé aussi haut en dix ans alors que tant d'autres échouent ?
C'est ce que Jean-Baptiste Rudelle raconte au fil des 230 pages d'un récit haletant plein de suspens, de retournements, d'échecs, de difficultés... et de bonnes pratiques. Car cet homme est un entrepreneur. Et il refuse le discours misérabiliste et le french bashing.
Bien que sa famille vive aujourd'hui aux Etats-Unis, il est loin de cracher dans la soupe républicaine française. Pour lui, l'échec de bon nombre d'entreprises françaises n'a rien à voir avec les impôts ou les charges. Le problème est managérial pour ne pas dire philosophique.
Sa conclusion, sa dernière phrase, est tout un programme : « et qui sait, un jour nous aurons, nous aussi, un Google français ? »
Article rédigé par
Bertrand Lemaire, Rédacteur en chef de CIO
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