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Ceva Santé Animale déploie un décisionnel disponible partout et en permanence

Le spécialiste de la pharmacie vétérinaire a déployé une plateforme décisionnelle pour tous types de terminaux.

PublicitéAvec un siège situé à Libourne, Ceva Santé Animale conçoit, fabrique et vend des vaccins et des médicaments pour la médecine vétérinaire. Des millions de poulets sont ainsi protégés par les vaccins de cette entreprise dans le monde. De nombreux chiens et chats sont également traités contre les puces ou des affections cardiaques grâce à Ceva. Le chiffre d'affaires de l'entreprise dépasse aujourd'hui les 600 millions d'euros par an, en très forte croissance depuis plusieurs années.

Ceva Santé Animale est dans une logique ATAWAD (Any Time, Any Where, Any Device : partout sur tous les terminaux à tout moment). Sa BI devait entrer dans ce schéma dans une logique de véritable App.

Pour ce faire, l'entreprise a eu recours à la solution décisionnelle de Microstrategy. Cette solution a été choisie après que la DSI ait également testé Oracle, SAP BO et IBM Cognos. La relation avec l'équipe commerciale de l'éditeur a contribué au choix final mais la qualité de la solution a évidemment été déterminante. Par exemple, le proof of concept Cognos demandait 23 processeurs contre 2 pour MicroStrategy pour une performance du second supérieure.

« Notre société appartient à son management : quand je fais un choix, je pense aux mêmes personnes en pensant aux actionnaires et aux salariés, je pense à l'argent qui va ou pas être pris ou remis dans ma propre poche » indique François Tricot, DOSI de Ceva (en photo). Celui-ci s'exprimait sur le MicroStrategy World 2013 à Barcelone le 9 juillet 2013.

Un décisionnel disponible partout et en permanence

Initialement, Ceva utilisait Hummingbird pour créer des rapports uniquement financiers. Et les rapports étaient conçus par la DSI, ponctuellement. Cette situation n'était pas acceptable et manquait de réactivité. De plus, il y avait des incohérences entre différents états. A l'époque, l'entreprise utilisait des outils vécus comme obsolètes : des postes légers sous Citrix, Internet Explorer... Mais les utilisateurs découvraient les technologies modernes, souvent à domicile.

Aujourd'hui, il y a 300 utilisateurs pour le décisionnel, deux chefs de projets administrant à la fois le décisionnel au sens strict et les connecteurs de données. La construction du système décisionnel et son intégration a été réalisé avec l'appui de consultants de Microstrategy. Pour l'instant, les rapports sont encore créés par la DSI mais, à terme, les utilisateurs seront amenés à créer leurs propres rapports. « Pour l'instant, nous n'avons pas encore suffisamment formé et accompagné les utilisateurs pour qu'ils soient autonomes » explique François Tricot.

Une disponibilité sur tous les terminaux

Une disponibilité sur tous les terminaux

PublicitéL'environnement de travail peut être variable d'un service à l'autre, voire d'un individu à l'autre : PC, Mac'Intosh, tablette iPad ou autre, ChromeBook... Et le décisionnel sous Microstrategy s'adapte en mode full web, sans plugin nécessaire, via un VPN, pour être disponible sur tous les terminaux, dans toutes les situations (y compris en télétravail). Tous les navigateurs peuvent aussi être utilisés. Selon les pays, les agences de Ceva utilisent plutôt Chrome, Firefox, Internet Explorer... Cependant, pour les usages en réelle mobilité, dans des endroits sans réseau, les terminaux sont équipés de l'App MicroStrategy (disponible sur Android, iOS, Windows...) qui permet un fonctionnement partiellement offline avec une ergonomie similaire à celle du navigateur. L'app est notamment utilisée par les commerciaux se rendant dans des fermes.

Les données traitées dans le décisionnel appartiennent de plus, aujourd'hui, à toutes les activités de l'entreprise. Certaines, issues de la GRC, peuvent ainsi être restituées sous forme de cartes en interaction avec Google Maps.

Le premier succès de la refonte du système décisionnel est la satisfaction des utilisateurs. Le coût total de possession des postes de travail a également baissé et est aujourd'hui de 800 euros par utilisateur et par an.

François Tricot s'enthousiasme : « si je peux supprimer Excel des postes de travail des décideurs, ce sera encore une grande victoire ».